Inscription :
« Il fallait un temple à la vertu, un asile à la douleur. »
Célèbre poëte portugais.
Bas-relief de bronze.
Le Christ disant :
« Je suis la résurrection et la vie. »
Membre de la Constituante, émigra en 1791, rentra sous le Consulat, devint, par la protection de Duroc, son parent, évêque de Poitiers, archevêque de Matines ; grand aumônier, et ambassadeur à Varsovie sous Napoléon ; se déclara en 1814 pour les Bourbons, qui le nommèrent chancelier de la Légion d’honneur ; resta sans fonctions depuis 1815 jusqu’en 1827, où il se fit élire député ; donna sa démission, et se mit à écrire divers ouvrages de circonstance, spirituels, incisifs, mais peu profonds, qui le rendirent pendant quelque temps le coryphée du libéralisme.