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IX

UN COUP D’ÉPERVIER


La lionne faisait donc le tour de l’arbre, et, en faisant le tour, elle regardait tantôt Pitou, tantôt moi, et surtout nos deux baïonnettes, dont elle connaissait la pointe pour avoir essayé celle de Pitou, et qu’elle voyait toujours tournées du côté de son mufle roux. De temps en temps elle rognonnait comme un tonnerre qui gronderait sous terre. C’était sa manière de réflexionner.