Page:Assollant - Aventures merveilleuses mais authentiques du capitaine Corcoran, II.djvu/326

Cette page a été validée par deux contributeurs.

XXIX

Conclusion.


Je passe sous silence les fêtes et les réjouissances qui suivirent, Corcoran, qui ne se faisait illusion sur rien, était dégoûté du pouvoir. Il n’avait vu autour de lui que trahison et lâcheté. Il résolut d’abdiquer.

« Seigneur maharajah, lui dit le fidèle Sougriva, ne nous abandonnez pas aux Anglais. On ne régénère pas un peuple en trois ou quatre ans.

— Mon ami, dit Corcoran, je suis venu aux Indes pour chercher le Gouroukaramta, et je l’ai trouvé. Je ne cherchais pas une bonne femme et une grande fortune, et je les ai trouvées aussi. Je vous ai montré comment il fallait faire pour être libre. Profitez de la leçon si vous pouvez, et faites-vous