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Baber obéit, sans qu’aucun des deux misérables osât lui résister. La vue de Corcoran et de Louison leur glaçait le sang dans les veines.

« Et maintenant, en avant, et au galop ! s’écria le maharajah. Il faut que nous soyons au camp avant une heure, qu’à midi nous commencions la bataille avec les Anglais, et qu’à six heures du soir nous ayons vengé Garamagrif et Scindiah. N’est-ce pas, Louison ? »