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— Seigneur Corcoran, dit Sita, il n’y a pas de trésor qui puisse payer une telle amitié. Mais je l’accepte en échange de la mienne. »

Pendant qu’on délibérait, le jour était venu. Corcoran baisa une dernière fois le front de Louison, s’inclina respectueusement devant Sita et monta à cheval avec Holkar, suivi d’une troupe de quatre ou cinq cents hommes. Louison les regarda partir avec regret, mais enfin elle parut se résigner. Sur l’appel de Sita, elle rentra dans le palais, et, nonchalamment couchée sous la vérandah, elle attendit, comme la princesse, le retour des chasseurs.