Page:Asselineau - Vie de Claire-Clémence de Maillé-Brézé, princesse de Condé, 1628-1694, éd. 1872.djvu/89

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

disparate et justifié la fatalité. Car j’admets la gaucherie, la mauvaise grâce, la déplaisance ; on comprend le dépit du consentement forcé et de la passion trahie, le ressentiment de la violence, l’horreur d’un nom détesté ; mais pour ces torts involontaires, rachetés d’ailleurs par une soumission parfaite et par un dévouement éclatant au jour du malheur, la rigueur inflexible, l’ingratitude froide, la séquestration, la mort sans pardon, il me semble que c’est trop.

Tous ceux et toutes celles qui, favorablement ou défavorablement, ont parlé de la princesse