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qu’il étoit bien aise d’avoir cette occasion de l’éloigner pour qu’elle ne fît pas de dépense. — Il auroit pu trouver des prétextes plus avantageux ! » Qu’on ne m’accuse pas d’accueillir tour à tour et de récuser les on dit ; mais le caractère de M. le duc et surtout son avarice étant connus, je ne puis m’empêcher en lisant ce propos de Mademoiselle, de songer à ce dernier paragraphe de la correspondance citée par lord Mahon, où il est dit que la Princesse fut obligée, avant de quitter Paris, de faire donation à son fils de toute sa fortune. L’accusation d’ailleurs étoit publique, témoin