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Princesse étoit devenue folle, et que son esprit s’étoit dérangé dans la solitude (la solitude ! qui donc l’y avoit condamnée) ? Mais cette allégation d’un écrivain suspect, et même adversaire dans la cause, et qui n’est répétée nulle part, n’est-elle pas plutôt la preuve du besoin de donner après coup un prétexte à ces sévérités inouïes ?

Il y a plus de raison, et aussi plus d’autorité, dans cette déclaration de l’un des derniers descendants de Condé, qui reconnoît que son illustre aïeul s’empressa de profiter de l’occasion qui s’offroit pour exécuter le projet de