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s’est évanouie dans les bras du duc, son fils, en lui disant adieu[1]. »

Sauf quelques variantes inévitables dans le récit d’un événement caché et livré à l’incertitude du jugement public, ce document, dont le lord nous garantit l’authenticité, s’accorde assez sur les principaux points, et même sur quelques détails, avec les relations que nous connoissons déjà pour mériter quelque créance. Il se pourroit d’ailleurs que le dernier paragraphe nous livrât le mot véritable de cette mystérieuse affaire.

  1. Life of Condé, p. 272 sqq.