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nant[1], comme à Mme de Sévigné, se rangea cependant plus tard à l’opinion de cette princesse et de Mlle de Montpensier, comme le prouve une note de sa correspondance relative à ce même Louis de Rabutin, son parent, qu’on a vu figurer dans l’affaire. Rabutin ne s’étoit pas laissé prendre ; il s’étoit caché

    Grand’Chambre et la Tournelle assemblées, et condamné aux galères ; mais que l’instruction ne fut pas entière, la Princesse n’ayant pas voulu déposer. — Il paroît (voy. Maurepas) que Duval ou Du Val mourut avant que d’arriver aux galères ; d’où l’on conclut, suivant l’usage, qu’il avoit été empoisonné, hypothèse aussi impossible à attaquer qu’à défendre.

  1. Corresp., même édit., t. Ier, p. 381.