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Et voilà comment ce petit roman, conte, ou nouvelle, comme il vous plaira de l’appeler, au lieu de prendre le chemin de la Revue ou du Journal, vient à vous directement et tout d’un saut. La première phrase notamment décèle une imitation de madame de Duras, qui n’eût pas été de mise aujourd’hui dans un feuilleton.

Enfin, quel qu’il soit, je vous le donne, Madame, et je serai bien aise s’il vous fait sourire, même à mes dépens. C’est d’ailleurs une des manies de l’âge avancé que de vouloir tout terminer.

Il semble à chaque achèvement que ce soit autant de retiré à la mort.

Et pour ne vous pas quitter sur une pensée