Page:Asselineau - André Boulle, ébéniste de Louis XIV, 1872.djvu/23

Cette page a été validée par deux contributeurs.

conclusion est que Boulle, débouté de ses prétentions, fut condamné à tous les dépens et ensemble à donner main-levée de la saisie faite à sa requête au domicile du sieur Crozat des objets par lui déposés en nantissement des sommes prêtées.