[Haut de page à gauche : en-tête à triangle rouge évidé, pointe vers le bas, surmonté des mots CANADIAN en lettres noires, au-dessus ; Y.M.C.A. en plus gros caractères et lettres et points blancs sur fond rectangulaire noir, au-dedans]
guerre : un homme qui entend un peu les affaires, a quelque culture, et aura [?] a servi servi dans la guerre actuelle comme engagé volontaire, serait tout désigné pour représenter en France cette grande entreprise canadienne, ne fût-ce qu’en qualité d’agent de publicité. Il y a aussi que Laporte et DeSerres sont grands amis, et que Laporte pourrait suggérer à DeSerres de me faire nommer agent de la P. de Q. à Paris, pour y pousser après la guerre les affaires du Canada français. (Laporte lui-même, d’ailleurs, est en excellents termes avec Gouin.) En d’autres circonstances je ne rechercherais pas cette situation ; mais premièrement je n’ai pas à me reprocher de n’avoir pas fait mon possible pour éclairer le mes compatriotes sur les conséquences de la politique gouiniste, et ensuite, ma mission à Paris m’a permis de constater combien quel ⁁quelle vigilance le besoin le Canada français a besoin d’un représentant de ce côté '/aura désormais aura be- ⁁désormais besoin d’exercer/ devra désormais exercer de ce côté. Ce qui me conviendrait aussi, quoique