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de vous rendre faire de la peine, vous rende orgueilleux de moi. La première fois, je partis pour le feu le cœur gros ; cette fois j’y vais le cœur léger, comme si le paradis — celui du ciel où [illisible] Bon Dieu ou celui de ma famille retrouvée — s’ouvrait devant moi. Comme moi, confiez-vous à la Providence et soyez heureux.

Ton papa qui t’aime,
Olivar Asselin./