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quelque circonstance y oblige, il faudra bien faire attention à ne pas placer la baratte assez près du feu pour que le bois s’échauffe ; car cela donnerait au beurre un goût de rance très débile[1].

  1. Essai sur la température la plus convenable pour battre le beurre.
    A. Expériences du docteur John Barclay et de M. Alexandre Allan.


    [Tableau]


    Le beurre produit dans la première expérience était de la meilleure qualité, gras, ferme et d’un goût agréable.

    La seconde expérience a produit un beurre de bonne qualité, mais d’une moindre consistance.

    La quatrième expérience a donné un beurre mou et spongieux.

    Le beurre provenu de la cinquième expérience était décidément inférieur aux échantillons précédens.

    D’après les expériences précédentes, il paraît qu’on ne peut garder la crême à une haute température pendant qu’on la bat. Dans la première expérience, où la température fut la plus basse, la quantité de beurre obtenue fut dans la plus grande pro-