Fig. 1. A, la laiterie dans le centre du bâtiment ; elle est environnée de passages.
B, est l’entrée de la laiterie du côté du nord ;
C, la glacière ;
D, un lavoir, espèce de cuisine où on lavera les ustensiles de la laiterie, avec une porte au midi et des rangs de planches autour de la pièce ;
f, une porte qui donne dans la laiterie ;
h, la cheminée.
Fig. 2. A est la laiterie.
B, B sont les passages qui l’entourent.
c est la fenêtre intérieure correspondant avec la fenêtre extérieure.
d est le ventilateur, ou tuyau conducteur de l’air.
g est la fenêtre extérieure.
Fig. 3 représente en détail la construction du ventilateur.
i, vasistas du haut.
k, vasistas du bas, ouvrant sur la laiterie.
n, vasistas communiquant au passage.
On s’était d’abord proposé de conseiller, pour cette construction, de faire les murs en briques, recouverts à l’extérieur d’une forte couche de terre recouverte elle-même d’un toit de paille, afin d’empêcher les variations de température à l’intérieur, effet que produit très bien ce genre de construction ; mais des expériences plus récentes ont prouvé que ce but pouvait être atteint à beaucoup moins de frais par un double mur tout autour de la laiterie[1]. La muraille intérieure doit être en briques ou en charpente enduite de plâtre ou de chaux des deux
- ↑ Le principe sur lequel est fondée l’efficacité de ce mode de construction est expliqué fort au long dans l’ouvrage du docteur Anderson, intitulé : Recreations in Agriculture, vol. Ier, page 210 et suivantes.
