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sivilles, il se retira à Ste-Foy, où il se maria avec la Delle Meymar, dont ils eurent de leur mariage deux garçons et deux filles, sçavoir :

« Matthieu, mort à soixante-cinq ans en 1704, marié au païs[1], qui eut plusieurs enfants dont le seul qui reste est établi à Bordeaux, qui y a été marié et n’a qu’un fils, Jean, qui se maria aussi à Ste-Foy, sortit du royaume en 1684 avec sa famille et y laissa quelques biens qui, après ses dettes payées, il y eut 4 ou 5 000 l. de rentes dont le régisseur du domaine des réfugiés s’empara. Sa famille dispersée en Angleterre.

« En 1711, Mr Richeteau, conseiller au Présidial de Poitiers, ayant appris l’évasion de Jean Richeteau, envoya un mémoire à Bordeaux par le sieur Grenier de Tour, qui fut remis à Risteau établi au dit Bordeaux, petit-fils de Pierre Richeteau, qui répondit en écrivant une lettre au dit Richeteau, que le peu de biens que son oncle Jean Risteau avait laissés, le Domaine

  1. À Marie Renac.