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V


Julie Verdier de la Carbonnière, née Venès, eut trois filles :

Delphine, l’aînée, épousa le baron de Clarac, un voisin de Lot-et-Garonne.

Mathilde, la plus jeune, épousa Amédée Jauge, fils de Théodore Jauge et de Marguerite Cottin.

Hélène Jauge, leur fille, épousa Auguste Harlé, artiste peintre. Ils eurent trois fils dont le commandant Harlé (Louis), auquel nous devons ces précisions de famille et maints documents pour cet ouvrage.

Élisay la cadette, devint la femme de Théodore Jauge, frère d’Amédée. La bénédiction nuptiale leur fut donnée à Paris par le pasteur Chenevière. Cécile Jauge, leur fille, épousa Amédée Bouffé. Cécile Bouffé, qui se maria en 1859 avec Charles Vincens, n’était autre qu’Arvède Barine, dont le distingué talent, s’est employé un des premiers aux recherches historiques qui ont tant de succès en ce moment. Elle a laissé un fils, Ernest Vincens, ingénieur.