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On lui jette mille choses en la gueule, pour lui couper le fredon. Il continue :
N’en prenez point de grasse,
Car elle a trop de crasse…
Enfin le meunier lui ayant bouché la gargamelle d’une serviette en tapon, le vieux père chante, à sa place, un lampon de Basselin :
L’eau qui nourrit la grenouille
Me refroidit trop les dents.
J’aime mieux qu’elle me mouille
Par dehors que par dedans !
Puis c’est la vieille mère :
Si j’étais hirondelle
Que je puisse voler,
Sur votre sein, la belle,
J’irais me reposer…
Puis l’oncle qui gringotte La Chanson du Pressoir :