e succès brillant du Solitaire,
dont
les deux premières éditions in-8° ont été
épuisées en six semaines, nous a déterminé à en publier une troisième en 2 vol.
in-12. Docile aux avis de la critique, M. le
vicomte d’Arlincourt a fait d’heureux
changemens à son ouvrage, qu’il a revu
avec un soin extrême. Quelques inversions forcées, que des Aristarques sévères avaient reprochées à son style énergique,
ne se retrouvent plus dans cette
édition : plusieurs passages ont été changés, et les taches signalées par la critique
ont disparu.
Le Solitaire est venu rallumer la guerre entre les classiques et les romantiques ; ce n’est pas à nous qu’il appartient d’entrer dans leurs discussions.
« On a voulu comparer le Solitaire aux héros de lord Biron (a dit un écri-