Page:Arkaï - Il, 1888.djvu/49

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Puis (Narcisse) il*** se suce.

Dénoués ses bas vêtements : mi-nu son flanc dessus baie son œil blanc.

En sa narine un flambeau expiré : son oreille tinté. Tourne sa tête endelirée.

À ses lèvres il*** applique une buire : bec liquoreux.

Il*** aspire.

Clôt son œil blanc, gonfle le flanc — cependant, en la buire ses lèvres — attirées — violacent.

Subit il*** les retire : l’ahanement l’harasse.

Ses lèvres — courageuses se baisent.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Il*** a créé une sensation neuve. Cuit le nouveau baiser : LE BAISER TUMÉFIÉ.