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II. De la substance en acte des êtres sensibles. 68

III. Le nom de l’objet désigne-t-il l’ensemble de la matière et de la forme, ou seulement l’acte, la forme ? Considérations suc la production et la destruction des substances. Solution des difficultés soulevées par l’École d’Antisthène. 72

IV. De la substance matérielle. Des causes. 76

V. Des contraires. Questions diverses. 79 VI. Causes de la forme substantielle. 80


LIVRE NEUVIÈME..

(Θ).

I. De la puissance et de la privation. 85

II. Puissances irrationnelles Puissances rationnelles. 89

III. Réfutation des principes de l’École de Mégare, d’après lesquels il n’y aurait puissance que quand il y a acte, et alors seulement. 91

IV. Une chose possible est-elle susceptible de n’être jamais, ni dans le présent, ni dans l’avenir ? 94

V. Conditions de l’action de la puissance. 95

VI. Nature et qualité de la puissance. 97

VII. Dans quel cas il y a, et dans quel cas il n’y a pas puissance. 101

VIII. L’acte est antérieur à la puissance et à tout principe de changement 104

IX. L’actualité du bien est supérieure à la puissance du bien : c’est le contraire pour le mal. C’est par la réduction à l’acte qu’on met au jour les propriété des êtres. 111

X. Du vrai et du faux. 113


LIVRE DIXIÈME..

(I).

I. De l’unité, de son essence. 117

II. L’unité est dam chaque genre une nature particulière ; l’u-