Page:Aristote Metaphysique 1840 1.djvu/372

Cette page a été validée par deux contributeurs.

trois angles valent deux angles droits^[1]. Ces accidents peuvent être éternels ; les accidents proprement dits ne le sont point : nous en avons donné raison ailleurs^[2].

fin du livre cinquième.

↑ On ne définit pas le triangle, une figure dont les trois angles sont égaux à deux angles droits ; c’est là une propriété qu’on rend évidente seulement par la démonstration.
↑ Aux ch. 4, 5, 6 du II^e livre de la Physique, Bekk., p. 195 sq. ; et au liv. I, 30 des Deuxièmes Analytiques, Bekker, p. 87. Voyez aussi plus bas, VI, 3, et XI, 8.

[1] On ne définit pas le triangle, une figure dont les trois angles sont égaux à deux angles droits ; c’est là une propriété qu’on rend évidente seulement par la démonstration.

[2] Aux ch. 4, 5, 6 du II^e livre de la Physique, Bekk., p. 195 sq. ; et au liv. I, 30 des Deuxièmes Analytiques, Bekker, p. 87. Voyez aussi plus bas, VI, 3, et XI, 8.

[1]

[2]