Cette page n’a pas encore été corrigée
visible chez les polypes, c’est que leur manteau est très petit, et que leurs pieds suffisent à les diriger.
§ 13[1]. Voilà ce que nous avions à dire des insectes, des crustacés, des testacés et des mollusques, en ce qui concerne leurs parties intérieures et extérieures.
CHAPITRE X
De la tête et du cou ; leurs fonctions et leur place ; leurs relations avec le reste du corps et le tronc ; station droite de l’homme, qui a seul cette attitude ; les parties supérieures de son corps sont les moins lourdes ; difformité des nains, générale dans tous les autres animaux ; l’homme, étant le plus intelligent des êtres, est seul à avoir des mains ; réfutation d’Anaxagore ; admirable conformation de la main ; rôle du pouce et des ongles ; différente position des mamelles chez l’homme et les autres animaux ; citations de l’Histoire des Animaux, des ouvrages d’Anatomie et du Traité de la Génération, à propos des organes sexuels ; disposition spéciale de ces organes chez l’homme ; organisation particulière des jambes de l’homme et des parties inférieures ; les fesses, les cuisses, les mollets ; leur nature charnue ; pourquoi l’homme n’a pas de queue ; rôle de la queue chez les autres animaux ; différences des pieds chez les quadrupèdes ; solipèdes, fissipèdes ; polydactiles ; usage de l’osselet ; organisation particulière des pieds de l’homme.
§ 1[2]. Nous allons encore une fois, pour reprendre les
- ↑ Des insectes, des crustacés. Ces études diverses commencent avec le chapitre V, et se continuent dans les chapitres suivants.
- ↑ Encore une fois. Ceci peut se rapporter tout à la fois et à ce Traité des Parties, et aussi à l’Histoire des Animaux, passim. Du reste, l’étude annoncée ici, et qui se poursuivra dans les chapitres suivants, n’a pas la prétention d’être complète ; elle ne fait qu’ajouter des considérations générales, fort importantes, aux détails qui ont été donnés antérieurement. — Vivipares qui ont du sang. Ce sont les animaux supérieurs, les mammifères de la science moderne. — Que nous avions pu laisser de côté. Le texte n’est pas tout à fait aussi précis. — Parmi celles dont nous avions déjà parlé. Aristote ne se répétera pas pour cela ; et dans les questions qu’il a étudiées antérieurement, il ne prendra que quelques points spéciaux pour les développer de nouveau, et Un peu davantage. — Aux animaux ovipares pourvus de sang. Le chapitre XI, qui suit, traite surtout des reptiles ; le chapitre XII traite des oiseaux ; et le chapitre XIII, des poissons. Ces chapitres sont fort curieux ; mais ils sont bien incomplets.