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Iri SOMMAIRES

La vertu morale est un milieu. — Table de quelques vertus et des deux vices extrêmes. Explication de cette table ; analyse de quelques caractères. — Il y a des pas- sions et des vices où il n'y a point à distinguer le plus et le moins, et qui sont blâmables par eux seuls.

Chapitre IV. — Des deux parties de l'âme, et de la division correspondante des vertus, en vertus intellec- tuelles et vertus morales. — La vie morale tout entière consiste dans les plaisirs et les peines que l'homme éprouve, et dans le choix qu'il sait faire des uns et des autres,

Chapitre V. — De la vertu morale. Elle est toujours un milieu, qui est tantôt dans le plaisir, tantôt dans la douleur. Difficulté de bien reconnaître l'excès et le dé- faut d'après lequel on doit caractériser le vice contraire à la vertu.

Chapitre VI, — De l'homme considéré comme cause. Il est le seul parmi les animaux à jouir de ce privilège.

— De la nature diverse des causes : les causes immo- biles, les causes motrices ; citations des Analytiques.

— L'homme est une cause libre; il peut faire ou ne pas faire ce qu'il fait. — De la louange et du blâme dont la vertu et le vice sont l'objet; la vertu et le vice sont purement volontaires, et dépendent du libre arbitre de l'homme.

CuAPrrKE VIL — Du volontaire et de l'involontaire. Du libre arbitre comme source de la vertu et du vice. — Tout

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