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.i.iil SOMMAIRES

tle la vertu. — La vertu ne peut pas se confondre avec la raison; mais sans raison, il n'y a pas de vertu. La pru- dence est d'ailleurs inférieure à la sagesse, et ne travaille (pie pour elle.

��LIVllE SEPTIEME.

TincoRiE Di: l'lmemi'Éranci:: et du pi.Aisin.

��Chapitre L — Nouveau sujet d'études. Le vice, l'in- tempérance et la brutalité. La vertu contraire à la bruta- lité est un héroïsme presque divin; mot des Spartiates. JMétbode à suivre dans ces nouvelles recherches : d'abord exposer les faits et les opinions le plus généralement admises ; et ensuite, discuter les questions controversées. — De la tempérance et de la fermeté à tout endurer ; opi- nion reçue à ce sujet.

(ïnAPriT.E IL — Explication de l'intempérance. On est intempérant tout en sachant qu'on l'est. — Réfutation de Socrate, qui soutient que le vice n'est jamais que le résul- tat de l'ignorance; objections contre cette théorie. — Nuances diverses de la tempérance et de l'intempérance, selon les cas. Le Néoptolème de Sophocle ; dangers des sophisnies. — De l'intenqiérance absolue et générale. — Fin des questions préliminaires sur l'intempérance.

(Ihapitrl 111. — L'intempérant sait-il bien la faute

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