Page:Aristote - La Morale d’Aristote, Ladrange, 1856.djvu/356

Cette page n’a pas encore été corrigée

rii SOMMAIRES

les dèuleurs est plus difficile à définir que pour les plaisirs. — L'insensibilité à l'égard des plaisirs est chose très-rare, et n'a rien d'humain. — Portrait de l'homme vraiment tempérant.

Chapitre XIII. — Comparaison de l'intempérance et de la lâcheté ; l'intempérance paraît être plus \ olontaire, ])arce qu'elle n'est que le résultat du plaisir, que l'homme recherche naturellement. — Intempérance et désordre des enfants ; il faut que l'homme soumette ses désirs à la raison, comme l'enfant doit se soumettre aux ordres de son précepteur. — Fin de la théorie de la tempérance.

��LIVRE QUATRIÈME.

��ANALYSE DE DU'FERENTES VERTLS.

��CHAprfRE l. — De la libéralité : définition de la libéra- lité. La prodigalité , l'avarice. Caractères généraux de la libéralité ; vertus accessoires qu'elle suppose. — La libé- ralité doit se mesurer à la fortune de celui qui donne. — Le libéral ne ressent pas trop vivement les pertes d'argent; il est facile en affaires. — La prodigafité est beaucoup moins blâmable que l'avarice, bien qu'elle ait quelquefois les mêmes efïets. — L'avarice est incurable; nuances diverses de l'avarice.

C.HAPiTRt II. — De la magnificence : sa définition ; sa

�� �