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��TABLE ALPHABETIOLE
��peut être utile ù la médecine, N, I, 3, 16, n.
HiPPOCRATK cité, ^, m, h, 8, ». — ( ) le géomètre, trompé par les douaniers de Bjzance, E, VII, l!i, 5.
Histoire des animaux, d'A- ristote, avait des dessins expli- catifs, N, II, 7, 1, n.
Histoire générale de Polybe citée, N, VII, 2, 11.
HoBBES cité, ^', IX, 9, 2, n. ~ Croit à, rinsociabilité de l'hom- me, id., ibid. — Croit à la mé- chanceté naturelle de l'homme, E, VII, 2, 31 et 3/1.
Homère, cité par Aristote, N,
II, 9, 3. — Cité, N, H, 9, 3, n.— Cité, N, II, 9, 6, n. — Cité, E, m, 1, 30. — Peinture qu'il fait des gouvernements anciens, ^, HI, Zj, 18. — Cité, N, III, 9, 2. — Cité, M, III, 9, 18. — Un vers cité par Aristote ne se retrouve pas dans le texte actuel, N, III, 9, 10, n. — Compare Ajax h un âne, N, III, 9, 11, n. — Cité, ^,
III, 11, 7, 71. — Cité sur les plai- sirs de la jeunesse, N, III, 12, 1.
— Cité sans être nommé, N, IV, 2^ 3. _ Vers d' ( ) cités, ^, V, 9, 7. — Cité, N, V, 6, 7, n. — Vers d' ( ) cités, i\, VI, 5, ti. — Cité, K, VI, 5, II, n. — Cité, x\, VII, 1, 1. — Cité, N, VII, 1, 1, n. — Vers d' cités, N, VII, 6, 5. — Cité, ?j, VII, 6, 5, n. — Cité, N, VIH, 1, 2. — Cité, N, VHI, 10, Lu
— Cité, N, VHI, 11, 1. —Cité, N,
��IX, 8, 9, 11. — Indiqué, !\, X, 10, 13. — Expression remai- quable citée de lui, E, III, 7, 6.
— Cité, G, I, 19, 8. — id.,ibid. n. — Pensée d'O, blâmée par Heraclite, E, VII, 1, 11.
Homme, 1' ( ) a une œuvre propre :\ remplir, en tant qu'homme, N, I, à, 10. — C'est l'activité de l'àme conforme à la raison, id.,ibid., l/i. — L' ( j est surtout un être intelligent, N, IX, i, 3. — L' ( ) est bon par nature, E, VII, 2, 31, 57. — L' ( ) est une cause libre et rai- sonnable, E, II, 6, 1 et suiv. — L' ( ) est le seul être libre, E, II, 8, 5. — L' ( ) est essentiellement libre, G, I, 10, 5 et suiv. — L' ( ) seul est susceptible d'être heureux, N, I, 7, 9.— Est le seul être qui puisse être heureux, E, I, 7, 2. — La faiblesse de 1' { ) a besoin d'un changement con- tinuel, N, VII, 13, 8. — Homme, sa disposition morale, N, VII, 7, 1. — Sa dualité, E, VU, 15, 15.
— L' a en lui un élément divin, E, VII, IZi, 23. — Son pri- vilège et son but suprême, c'est de pouvoir contempler Dieu, E, VII, 15, 16. — L' est une plante du ciel, selon Timée, Pr. xcix. — La partie supérieure dans r (j, c'est l'entendement, N, X, 7, 1 et suiv. — Êtres dont la nature est plus divine que la sienne, N, VI, 5, 7. — Est émi- nemment sociable, E, VIT, 12,
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