Page:Aristote - La Morale d’Aristote, Ladrange, 1856.djvu/1470

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

culte dans son âme ; et la meilleure disposition de son âme, est celle où il sent le moins possible l’autre partie de son être, en tant qu’elle est inférieure.

Voilà ce que nous avions à dire sur la fin dernière de la beauté morale et de l’honnêteté, et sur le véritable emploi que l’homme doit faire des biens absolus.

. . . . .

presqu’à elle seule pour m’en faire suspecter l’authenticité, bien que dans tout le reste de ce chapitre se retrouvent les vraies doctrines du Péripatétisme. Voir la Dissertation préliminaire et la Préface.


FIN DE LA MORALE A EUDÈME.