Page:Aristophane - Lysistrata (trad. Raoul Vèze), 1928.djvu/97

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 77 —

MYRRHINE

Mais moi j’en veux un.

CINÉSIAS

Hélas ! ce pauvre bijou qui a si faim de toi, tu le traites comme au banquet d’Héraclès, où l’on attend toujours les mets promis.

MYRRHINE

Voici un oreiller, soulève-toi.