Oui, par Aphroditè ! que tu le veuilles ou non.
Mais nous ne nous occupons pas, pour le moment, des sexagénaires : nous les renvoyons à une autre époque : nous n’avons affaire qu’à celles qui n’ont pas la vingtaine.
Sous l’ancien gouvernement, il en allait ainsi, mon bon ; mais aujourd’hui on nous sert les premières, c’est la loi.
Si on le veut bien, suivant la règle du jeu de dames.
Mais tu ne dînes pas suivant la règle du jeu de dames.
Je ne sais ce que tu dis : il faut que je frappe à cette porte.
Mais c’est à ma porte que tu dois d’abord frapper.
Nous n’avons pas, pour le moment, besoin d’un tamis.
Je sais que je suis aimée : tu es surpris, en cet instant, de me trouver devant la porte ; avance la bouche.
Mais, ma bonne, je redoute ton amant.