un seul suivant : enfin, j’établis une vie commune, la même pour tous.
Comment sera-t-elle commune pour tous ?
Toi, tu mangeras de la merde avant moi.
Est-ce que nous nous partagerons aussi la merde ?
Non, de par Zeus ! mais ta brusquerie m’a interrompue. Or, voici ce que je voulais dire : je mettrai d’abord en commun la terre, l’argent, toutes les propriétés d’un chacun ; ensuite, avec tous ces biens mis en commun, nous vous nourrirons, gérant, épargnant, organisant avec soin.
Et celui de nous qui ne possède pas de terres, mais de l’argent, des darikes, des richesses cachées ?
Il les déposera à la masse ; et, s’il ne les dépose pas, il sera parjure.
Mais c’est comme cela qu’il les a gagnées.
Elles ne lui serviraient absolument de rien.
Comment cela ?
