moi, vous le pouvez tout de suite. Désormais, vous n’entendrez plus de moi aucune mauvaise parole ; voilà mes propositions.
Quel besoin te contraint de nous tenir ce langage ?
L’homme attaché à ce poteau est mon beau-père. Si je le remmène, jamais vous ne m’entendrez dire du mal de vous ; mais si vous ne me l’accordez pas, les tours que vous jouez maintenant, je les révélerai à vos maris, revenus de l’armée.
Pour ce qui est de nous, sache que nous nous laissons persuader. Mais ce barbare, le persuader, c’est affaire à toi.
Oui, c’est mon affaire. Pour toi, Élaphion, ce que je t’ai recommandé en route, n’oublie pas de le faire. Et d’abord, passe devant et retrousse ta robe. Et toi, Térédôn, joue-nous une persique.
Quelle est cette musique ? quelle bombance me met en train ?
Archer, cette jeune fille va préluder à ses exercices : elle est venue pour danser devant quelques conviés.