sembles d’intelligence avec lui : ce n’est pas pour rien que, depuis longtemps, vous jasez de l’Ægyptos. Mais celui-ci au moins subira sa peine. Le Prytane s’avance, ainsi que l’archer.
Cela va mal. Il faut s’esquiver en tapinois.
Et moi, malheureux ! que vais-je faire ?
Sois tranquille, je ne te trahirai jamais, tant que j’aurai le souffle et que mes dix mille ruses ne me feront pas défaut.
L’hameçon n’a rien pris.
Est-ce là le scélérat dont nous a parlé Klisthénès ? Hé ! l’homme ! Pourquoi te caches-tu ? Archer, emmène-le, attache-le au carcan ; puis reste là de planton, et veille à ce que personne ne puisse s’en approcher. Le fouet en main, frappe quiconque s’avancerait.
De par Zeus ! tout à l’heure un faiseur de voiles a failli me l’enlever.
Prytane, au nom de cette main droite, que tu aimes à