C’est donc là ce qui me faisait mal : prends cet anneau ; retire la bête et montre-la-moi, après l’avoir enlevée. De par Zeus ! il y a longtemps qu’elle me pique l’œil.
Je suis prête à le faire, quoique tu sois un homme désagréable. Ô Zeus ! l’énorme moucheron que tu avais là ! Ne vois-tu pas ? C’est un moucheron de Trikorynthos.
De par Zeus ! quel soulagement tu m’as apporté ! Depuis longtemps il me crevait l’œil comme un puits. Maintenant qu’il est enlevé, mes larmes coulent en abondance.
Je t’essuierai, tout méchant que tu es, et je te donnerai un baiser.
Pas de baiser.
Que tu le veuilles ou non.
Allez à la malheure ! Comme elles sont de nature câline, et qu’on a raison de dire ce mot, qui n’est pas mal formulé : « Pas moyen de vivre avec ces drôlesses, et pas moyen de vivre sans elles ! »
Allons, je te promets, pour le moment et pour l’avenir,