Permets que je leur donne : car nombreuse est la foule des gens de bien.
Tu crois donc que ce soient des gens de bien ?
Comment ne le seraient-ils pas, eux qui, aspergés par nous à si grande eau, sont demeurés immobiles à la même place ?
Mais hâtons-nous de prier.
Prions, en effet.
Ô très vénérable Reine et Déesse, respectable Paix, souveraine des Chœurs, souveraine des mariages, reçois notre sacrifice.
Reçois-le au nom de Zeus, ô la plus chère des déesses, et ne fais point ce que font les femmes qui trompent leurs maris. Celles-ci, en effet, entre-bâillent la porte et se baissent pour regarder. Si quelqu’un fait attention à elles, elles se retirent ; et, si l’on passe, elles reviennent. N’agis pas ainsi avec nous.
De par Zeus ! montre-toi tout entière, en honnête femme,