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PHILOKLÉÔN.
Elle courbe mes flancs avec violence. Comme mes narines mugissent ! Comme mes vertèbres résonnent !
XANTHIAS.
Prends de l’ellébore !
PHILOKLÉÔN.
Phrynikhos est un coq qui jette l’épouvante.
XANTHIAS.
Gare les coups de pied !
PHILOKLÉÔN.
Sa jambe lance des ruades jusqu’au ciel : son derrière est béant.
XANTHIAS.
Fais donc attention !
PHILOKLÉÔN.
Maintenant les articulations de mes membres jouent avec souplesse.
XANTHIAS.
Ce n’est pas bon tout cela, de par Zeus ! c’est de la folie.
PHILOKLÉÔN.
Voyez, maintenant ; j’appelle et défie les antagonistes. Si quelque tragique prétend danser avec grâce, qu’il vienne ici jouter avec moi. Y a-t-il quelqu’un ou n’y a-t-il personne ?