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KLÉÔN.
Ô Dèmos, sors ici.
LE MARCHAND D’ANDOUILLES.
Par Zeus ! ô mon père, sors ici.
KLÉÔN.
Sors, ô mon petit Dèmos, mon cher ami, sors, afin de voir comme on m’outrage.
DÈMOS.
Quels sont ces braillards ? N’allez-vous pas décamper de ma porte ? Vous m’avez arraché ma branche d’olivier. Qui donc, Paphlagonien, te fait injure ?
KLÉÔN.
C’est à cause de toi que je suis frappé par cet homme et par ces jeunes gens.
DÈMOS.
Pourquoi ?
KLÉÔN.
Parce que je t’aime, Dèmos, et que je suis épris de toi.
DÈMOS, au marchand d’andouilles.
Et toi, au fait, qui es-tu ?
LE MARCHAND D’ANDOUILLES.
Son rival. Il y a longtemps que je t’aime et que je veux te faire du bien, ainsi qu’un grand nombre de gens qui