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LE CHŒUR.
S’il ne cède pas à cette raison, dis qu’il est de mauvaise lignée.
KLÉÔN.
Tu ne me laisseras point parler ?
LE MARCHAND D’ANDOUILLES.
Non, de par Zeus !
KLÉÔN.
Mais si, de par Zeus !
LE MARCHAND D’ANDOUILLES.
Non, par Poséidôn ! Mais qui parlera le premier, c’est ce que je commencerai par débattre.
KLÉÔN.
Oh ! j’en crèverai.
LE MARCHAND D’ANDOUILLES.
Non, je ne te laisserai pas.
LE CHŒUR.
Laisse-le donc, au nom des dieux, laisse-le crever !
KLÉÔN.
Mais d’où te vient cette hardiesse de me contredire en face ?
LE MARCHAND D’ANDOUILLES.
De ce que je me sens capable de parler et de cuisiner.
KLÉÔN.
De parler ! Ah ! vraiment, s’il te tombait quelque affaire,