mirent pas assez de se replier sur lui-même, le distrayant : la nouvelle toilette de sa mère ; le défilé des gens notés indifférents dans son flair d’enfant, venant se condouloir avec elle ; le mouvement de l’enterrement ; « les quelques paroles prononcées sur la tombe ».
Et puis, ce fut le changement de collège : sa mère voulut l’avoir plus près d’elle, à Paris ; et puis, encore, dans son esprit, de vagues désirs d’indépendance avec la disparition du maître.
Et, pourtant, Jacques pleura beaucoup, et, cela, aussi, l’occupa.
Il arriva à la rentrée, au lycée : comme un vieux monastère aussi, celui-là, mais noir avec des airs de Mazas, et pas de parc. À côté, des reconstructions, comme une cravate blanche sur un costume de grand deuil.
Le proviseur ne l’embrassa pas, mais lui dit : « Monsieur, » et la porte de fer se referma.
Là, il s’ennuya, pleinement.
Tout l’ambiant l’écœura : la cour, carrée comme une fosse aux ours, ayant, en façon d’arbres, des pieux ornés de feuilles : tout autour, des murs hauts : plus de ces bonnes parties de barre ou de balle : on ne joue pas, on se promène en causant ; des pions sales, aux mines