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par les Dijonnais ou Martin et Martine par les Cambrésiens, j’aurai signalé tout ce que Romans offre d’intéressant. Ce Jacquemart des bords de l’Isère n’a rien de moyenâgeux, c’est revêtu d’un costume de grenadier de la République qu’il frappe de son marteau sur un timbre pour annoncer les heures.

Jacquemart appelle à la soupe de midi les 6,000 ouvriers et ouvrières de Romans qui travaillent à la confection des souliers et des galoches. Après Fougères[1] la ville dauphinoise est

  1. Voir 5e série du Voyage en France, pages 288 et suivantes.