TQIE XV DELA TRADUCTION DE ISAÉTBBÉ t
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MEME SUR LA PHILUSOPHIÉ llüfiiüm DE MID;
PAR IS. CAHEN; imolsessëult ne }l§ll..OÈ(lP1lIEe
Vingtùênte et derniére livraison.
6 fr., supplément 2 lr. — Papier béslîn 9 fr., Supplément Bfr.
CG Ilièlf pli dûtll Wife que peut ÈWÈ HF b•ricu¤x tnvail qui nooûté i son auteur près de 25 ans. On hou! pttüï tuutefois dodire que M, S. Cahen a reussi dans Il tüe 2u’il_s’éteit de rendre le bluslldèlement possiblé It! ttt êb|·èu·q·ui le trouve en regàrd de Bâ traduction et lui seti lu &tràlOt· qu’ll a consulté cutîseleueieusemeut les traductiül lt IB ion8·des anciens et des contemporains, desjtiîlï the r_ st qu’il a surtout tenu â fâite côüttttître lèë üple IMUQ êüûœ mallrü deus Feutêgèàe biblique: Rasëbi, Abeü ·E§iüi, Illlbtg, etes; que les Hottzs, rédigées satin lutïuttë espece de pi’!¤ hüiüsui le préeccupàtitms, Biottt ftoef objü que tion du texte.
Ce travail, n’eû$·ü dintttre mérite que de f·nü‘e_¤||ldtrc lm ~ travaux peu connus des rabbins du moyewâge et ceux ies Bis gàtes modernes, rendrait einer! tm sürviœ notable, non·se•le· meut à ceux qui VBULBÉ IPPFÉÃÃL le texte, mais à tous ceux qui veulent connaitre l’Aueion··’Ecs¤ment nutrementçt dans ces bibles dont le moindre défaut est souvent lnmhfe de fidélité.
Et maintenant que l'auteur; grâce l d’immenses.smeiBoes, a iti SB IBM; H ûïüeque les personnes qui u’e·n· ent pas encore retiré toutes Ins liiVJ‘âi§Qtl4’e»mpressei•nt de le faire.
M. Cahen tt’tt uw la prëtëtliion dftvoir fait une œII*@.tit’!‘6·-· prochable; rien de parfait ne sort de la main des bîs, et l’a¤tw’ Q continué son travail au milieu des soins tfexigeait uneâmillc nombreuseet à tra ers les événements poëtiquesdcc yiJngt__dernii·rcs gnnées?. Mais ilaqleuconsciegee ,QÉavù·~_Ip.it E ouvrage utile i tous; il invoque à cet égerd,ljo@piq_g jg MM, - rabbins et des hébraïsants.