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 dans beaucoup de ses méme, surtout   rwpufl NK A

questions en matière civile et criminelle, les deux écoles , d’accord et s’entr’aidaieut pour combattre les Saduceensgll des- tait pas rare de voir des docteurs de la loi qui, sortaient dlnuc code, se ranger, ponrdes causes spéciales, à l’opinion de l’attt.re, comme Baba b. Bam une des victimes de la tyrannie d'Hdr0de et Il. Jochunan b. Saccat, qui plaidait les causes des deux iwlcs contre ies swistttatiques étrangers : cette dernière- qua lii;ication_ ne l'ut pas toujours donnée aux Saducéens qui vivaient euvguerrc ouverte avec les Pharisiens ; mais aussi, sauf quelques restric- tions, aux sectaires les plus paciûques professant des doctrinœ qui ne s`accordaient pas en tout point avec celles rccunuuü

 fondamentales. C’est ainsi qu’ il n’y,avait aucun rappro-

chement ni'poin`t de contact entre les Pharisiens et les _Essém}:ns, secte dont Porigin-e n’es t presque pas connue, dont le Talmud ne fait pas meutiën et dont à peine nous connaissons les princi- pales doctrines par les auteurs profanes et les é crits~postét·icù¢S; · l’opinion assez généralement répandue que les Gabl.¤lis1es~oriü· naires de cette époque sont le produit d’une branche sienne `entée sur la tige essénienne, n’est pas plus fondée que eek fait dériver les Carottes du 5* au 6* sièclcydes

 du 1** siecle avant l’&·e vulgaire. On attribuecepeu-

dant et prières mystiques dans le agie Ms Cabhuliinesa un des disciples de Hillel, B. Nehnmiuh, b. Ha···»

 Il est  de dire qu’il n’y avait aucun rapport entre

lc. célèbre ltelléniste Philou le juil', connu dans nos_ auteurs d'as pres son origine égyptienne sons le nom de *:1‘1:¤:‘7|t:·t ïIY'19‘1* et les Pharisiens · qui selon leur doctrine devaient cotulttmuut comme couché dihérésie se philosophie principalement puisse dans les auteurs grecs et surtout ses théories sur la création, le « meiériaiisute du monde, la révélation envisagée sous un de vue allegorique, la vie avenir, e tc.;et cependant ciest encœe le système de Phiiougsurttnit quant a son opinion sur Yémauation _ 'du verbe divin, que I’on veut reconnaître comme le canevas sui _ lequel la Cahbala estvcnue plus tard broder ses chefs·d‘œuvrc de visionnaires. Peut-on tout cela, quand `on voit les Ha- î’î9¤ Meur *%*9 ëü de Potuuipotauee sacerdtf-