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É nouv! ncuhrrn. nuit IIÉÉG, ·@• la rue du Grant!-(Jhoatler, n•4, awt auli un examen publie, et nous en avons été sttlùit, comme d’ortIi·- naire; cette dame s’occupe assiduement de son établissement, , et sa maison est depuis longtemps en possession d’une bonne réputation méritée. Ces maisons ne doivent pas nous faire oublier le pensionnat dirigé depuis un grand nombre ehnnées, ne ti, rue des Trok- Pavillens, `par madame Neymark. Cette dame a toutes les que- lités de la bonne maîtresse de pension : Douceur et savoir; eh est pour ses élèves une mère autant qu‘une institutrice. - Un de nos jeunes coreligionnuires, Edmond Aron, de Metz, vient d’0blcnir une bourse au collège Sainte-Barbe, à Paris. Cette fureur, qui, le plus souvent, ne s’accorde qu‘au mérite éprouvé, il l’a due, lui, àson intelligence précoce et surtout aux infor- tunes de sa famille, si cruellement frappée parle destin. Un tel acte n’a rien qui nous étonne dela part d’une institu- 'üon comme Sai nte·Barbe. dent la renommée philanthropique éple la renommée classique, et qui aurait pu, de temps immé- mnriü, inscrire au fronton de son bel édifice : Charité et frater- nité, comme elle y a inscrit : Lettres et sciences. Mais si nous ne sommes point surpris, nous sommes reconnait- sant, et c’est du fond du cœur que nous signalons cet acte à tous une amis, à tws nos coreligionnaires de France etde lïémnger, â tous ceux enûn qni,_par leur fortune ou par leur aisance, sont mis en demeure d’envoger leurs üls â Paris, soit pour gt commen- cer, soit pour y compléter leurs étudesf; —-Nous appelons l’attention de nos lecteurs sur l’lnstl tution de M. Fleury, à Fontainebleau, que nous annonçons dans ce nn- i méro et dont nos c0reli gionnai1‘cs sauront apprécier l’impor-· tance. w . ‘ - P