BB . namur _ ment ce café serait-il empoisonné, j’en ei pris moi-méme avec vous? — C’est alors la coupe de mon camarade qui aura été —empoisonnée; que sais-je, moi, ce que vous avez fait? Vous eve: eeu•é·le.mort l’u=n·oeeyent, cela euflit. en Uinaulpé stépuisu vei- nement àpronver Pimpoesibilité du crime; le nahmétmpmt- sista dans son accusation et redouble de menaces; cependntil iinitpar eéder aux larmes et aux prières de Pisraélite, et lui a J’ai pitié de toi, et je veux bien étou|l`er cette al’Eai·re.»Fais£er- mer les portes de te maison et ne laisse entrer qui qu e oemeit; ee soir j’enverrei deux personnes pour enlever le oadarne et Pw- sevelir secrètement; mais cela me coûtera une grosse somme et tn ne voudras pas le laimer à ma charge. » L’-isreélise, heureux lean tirer d’·=emberras à quelque prix que ce fût, ·ne marchande pasü compta avec ennpressementla somme demandée. Lemxsulmüm retira et emporte encore les remercîments d e notre ioraédite. ils h soirée, arrivèrent deux Bédeuins avec un grand see, ils gui- rent le cadavre et Vemportèrent. Buis à peine furentsilsà quel- ques pas de la maison, que notre mort saute leetemœt hon du sac et s’en elle tranquillement avec les porteurs. La Palestine, par le dûntnttr ` IÉIOIRE EUR LES JUHQB DMBYBBINIB OU FALABHAB (Ã). (Suite.) . Après le rétablissement de l’encienne dynastie ebyssiniennn, ies Faleshas eurent à endurer desjpersécutions, à ce qu‘il semble, de la part des chrétiens; cer, quoique je n’en trouve _aucune mention deus les histoires écrites, M. Buppell assure, en parlant des Limants, qu’il prétend être une secte ebâterdie des Felashes, et dont nous reperlerons plus bas, que d’après la tradition popu- · laire (ee sont ses expressions), les Liments étaient de vrais jü orthodoxes, et que seulement vers la fin du xmfsiècle, lorsque les chrétiens les persécutèrent horriblement, ils se séparèrent des autres juifs,et ne conservèrent de leur religion que Tusgo
de.s’abstenir de Pagriculture le _ jour du sabbat.
.· (4) YogclN¤JuJ5s@|e¤h:e,,p. ABB.
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