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nantes. 485 ne Pémit sur cette grossière rampe de village notre étrange et curieux mannequin. · D Goethe, 6 Charles Nodier! vous qui aimiez tant au sortir des travaux énervante de la pensée à délasser votre esprit fatigué, en hntantles tbëtres des bateieurs foraine, pour recueillir dans ses weetades en plein vent de piquantes vérités, des saillies de hon sans et pour y chercher aussi unpeu de ce gros rire qui fait mnt de him à l'ame, que n’étiea·vous là! vous auriez trouvé tout cela chea notre drille de comique entrain et de drolatique élo- quence. Semblahle aux personnages du antiques Attelanes dont il des- caad en droite ligne, Hansvvurst laissant souvent là son rôle et son tüme oràires, se mettait à apestvopher vertement quelque mauvais plaisant du parterre qui, usant d’une liberté admise faàlleura, avait oué lè provoquer. Mais ce`n’était pas tout de le pmv•quer il füait soutenir la lutte, et Hanswurst , qui avait la langue bien pendue et qui connaissait son monde, lançait à son tour de I’autre côté de la scène un feu roulant de larzi et de que- liheta qui, je vous l’assure, ne mettaient pas toujours les rieurs du côté du malencontreux interrupteur. ' Quelquefois même sans être provoqué et il faut bien le dire, pour le aeul plaisir de faire le mal, dans le cours de ces dialogues comme dans ses a parte, ce malin personnage se permettait des allusions plus que transparentes à tel ou tel événement du jour. Aussi malheur à qui avait blessé d’une façon ou il’un autre maître ladolphe peudaut son ëjour à 1`.... Sa retranchantderrière le moque de son inviolable paillaaee et se livrant ainsi impunément au plaisir de la vengeance et de la satire, il n'épargnai_t pas plœ 5 Poecasion lea grands que les petits, les üls de famille que les servantes d’auberge : viee régnant, ridicule en vogue , scandale du moment,. il s`emparait de tout cela et disait ses vérités à tout le mende,etaon Hauavvurst, terreur dœ mauvaises consciences et délices des amateurs de mneana, parlant d’une voix burlesque- lent eareuée. parfois d’une énergie et d’une verve incompara- bles, uemnnat les peraenneaet les elmaes avecune licence tout ariattlphaneaqueet accompagnant et commentant sea paroles de