II! mme: de Peut. Cette invention a nhtenn le plus grand succès, Pinces- · _ teur a ve ndu,`depuissa déconeeree, près de 40 snüle ecmpteun etdans ce nombre se trouve lseccnrpteurénorme desüné ux Ull- lelles cbambresdu parlemœt, et que la science et la presse m déclaré Pinstrument le plusoenplet q•’o¤ ait jamais cunstmü pour la mesure d’nn fluide. il. Delries weetencone hwenœer de plusieurs autres machines d’nn grand intérêt public. (Jewish Chroni6te.) ÉOIRE HJ! LES IUIFS D’iBY8B¤lHlE OU FAIASIAS (à ). A u. nome: emma. Padoue, ce 27 juillet 1851.. Uintérèt que vous avez mentrè dès le commencement pour mes recherches s ur les Falaslras, intérêt que vous poussâtes jus- qu’à m’exborter vivement à écrire là-dessus un mémoire, et â’indul·gence avec laquelle vous avez bien voulu regarderce pre- mier essai, lcrsque je vous le présentai, en septembre 1813, m’enœ·nragent. à vous présenter aujonrd’lrui un autre travail sur les Falasbas, moins imparfait qne le premier, mais auquel il man-— que encore beaucoup pour satisfaire anxexigences de la science. Acceptez-le tel qu’il est, et agrées l’ex=pr~essiou de ma œusidé- tation très-distinguée, Pamoxtua Luzuno. Marco Polo, le célèbre voyageur vénitien du une siècle, est le premier qui ait_fait connaître I’existence de juifs en Abys- sinie. Mais il se borne à constater leur existence, sansajouter aucune observation à leur égard, si ce n’est qu’ils portaient sur chaque joue un signe pour être plus facilement distingués des autres ba- [29V0ye; un tranll sur ce sujet, Arehàaa ùra£lit¤,&¤d¤,1¤t%tâl, p. .
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