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  • la réalisation de cet"c belle parole prophétique : "l‘l33 l’l’i’l* ‘7’l"l.’l

U‘|‘7U U3"} *l’ll’lJ’| ]‘|lfl|£’1l’l ]Df’|Wl"lNn’l Il’3l’l L¤ 9¥¤ù’¢ tk ¢‘•ü• wri- son surpaesera la gloire de la première, et je vous donnerai ta peer. Oui, ce t mple sera un lieu d’union, non-seulement entre l’homlme et Dieu, mais aussi entre l’homme et son frère. Soyons unis, mes chers frères, comme dans ces temps antiques où la solidarité des souirances produisait la · smtdartté des pensées. Vous venez demander à Dieu ses faveurs et ses béné- dictions, et vous refuseries à votre frère une parole d’amour, une main secourabls! Vous demandez à Dieu le pardon de vos fautes et vous voudriez laisser au fond de votre cœur la rancune et la haine? Dans le temple de Dieu, tout nous parle d’amour, tout prêche la charité, et, comme autrefois, sur le temple de Jérusalem, gravons sur le notre ces belles paroles: vp .l’lll7’ll D1 W1 fl`|l’lR`| ïl3i’lN D3*J*3 [*3W* Rlfl Tllfl t’l*33 `IDIU DUT? Que celui dont le nom décore cette enceinte, fasse régner au milieu de vous l'amour, la charité et la fraternité.

Que me parlez·vous de cette absurde distinction entre des enfants d’un même culte, entre des enfants légitimes d’un· même mère, entre deux frères qui sont- allés représenter le même père, l’un au sud, l’autre au nord E" Je ne connais pas cette distinction, et je ne veux pas la connaitre. En humanité, je reconnais pour frères tous les hommes sans distinction; en religion, je reconnais pour frères tous les israétites, tous ceux qui, matin et soir, proclament la grande unité de Dieu. ... uns; ’;1— N’avons·nous pas souffert ensemble? Notre sang s’e t confondu sur la terre, comme nos soupirs et nos prières se sont confond us dans le ciel.·Voyez·vous dans les cieux Maimonides et Hendelsohn, Aharbarel et Raschi, des hommes dont nous vénérons tous le souvenir. Les voyez·vous entourés d’une auréole de gloire et de sainteté P Demandez-vous à quel rite ils appartenaient? Non, soyons unis, prions ensemble et soyons heureux de cette fète dont le Souvenir restera profondément gravé au fond de notre cœur.

Ce sont là des pensées nobles que notre religion inspire à ses êl0qtl€fltS llll8I’pl‘èlBS , ûll8Sl l8l1l‘ €Xp’|‘B88l0Il il 00Il8l8lDlll6Ill. GBP- tivé Pauditoire. _



· LETTRE PASTOIALE DE I. KLEIN, GltAND·IABBlN DE COLIAI.

Un ami de ce grand-rabbin nous a dit dernièrement que c’est à tort que nous lui avions attribué (d°après une correspondance) la défense de quitter le temple avant la fin de l"oltice et la ferme- ture des portes à |’appui de cette défense; c’est le fait de l’admi- nistration du temple, et les portes ne sont pas fermées là clef. ll aaussi contesté Vexactitude d’une autre nouvelle que nous