586 mms Antin ettiumasure que l'intol6rancc des musulnmsmpouur les¤juifs·dmoa=cûtd des Pyrénées, l’ambe=ss~ p•rd:ps¤ni·eux arles tnütés impnutuis scuttnuinits amhéhrcw nbbinique;·ces#mùw— q time ont pour la plupart: survécu 2 Gœsuntgdu l reste, depuusualqimsassczinintalliginrts, dautlmûlixilitiunhn- l ranszla tenu: xmdemm La gloirezprinuipale de œ tvamil de·¤·adu¢tûcn.r¤•ientà lh.fm— milla des Tihibonidos, originaire dülndalousie et établie à·li.mcl: Jacob Ben Abba-Mari, établi à Naples et pensicnnâ pu·l'nm-· perenn Frédénin ll,. traduit en 1251 le cumnmnlmire-•fAn¤mès sur l'Orga·mm· : en. 4260,. Moïse Ahen-'llibbm public une Kadim- ticn presque complète du· commcnwsmnjn cn Iilülllflll- BIKE parmi uen traducteurs Zeraohia,. de Barcelone, Jacob Bulte- chir et Ga|0ny;me,.fils de Jéir: en i.3&·t et en1550, on Iradnù une partie~de Platon zlosepli Ben Caspi, Todros Todiinsi dbtrlœ, Schem Toh»Ban Isaaede 'Ilortose, Moïse Ben Sslommchïonlou, Leviken Gersonz et Mbîse de Narbonne méimnmégslemnnàdîètre mentionnés. Au xrve siènle, Levi Ben Genson, de Bagnols, commente bar reès awec une. pureté peripetéticienne qui fait'»¤ent;tm! Ma pureté du dogme mnsaiquœ. L’iut`luencs grécm-arabo éveille des libres penseurs jusqutoinu les Karaîtes eux—mémes, témoin Ahron Bau. Elia,. de Hiccuüdî. Le x.v• siècle marque la décadeuee dn la; phüosnphiejuim-: néanmoins, la doctrine dfàserroès parait, pareatnits, mènnulms lœpoëme didactique de Moise de Rieti. Elie del ledigo, qui eut entre autres pour. élire Pie de la Mb-· randole est le dernier commentateur connu de la doctrine d".h— vuioür: ài; la tradition en a subsistê suns= interruption thus lmcélàbre école juive de Padoue 2 néanmoins, qmndt la phil•|•· pluie exrpinit, Iathéelogie se réveilluit: Joseph Mbs, Iœœhxm vanel, Rabbi Mosé Almosnino attaquent lazdoutrim d!A•cnü• l etdéûendert la création, la révélation, l’immortulIt1§ :·lh dhctice phtanicitnms, siapposée au peripatéilsme; inspire les Iîblcgur d!i•¤•cu•·d•· IJim.l’llb¢e••. Iais•le· rôlede la philosophie juive, e•mm·pIril0sopkie·n¤!|U·— nale, était lini : les juifs qui s‘illustrèrent plus tardîdhnw Ibpüë Digitized ny Google L l
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