n ùaïas. zx lëfmt oapitalen ee·qu’il détruit le prestip, llaspùaedïurhie qui l’environ¤e ihnsla chaire; c’est qu'il a trop d‘esprlt.«Ponr un bon not, pour une saillie, il oublie volontiers la gravité et , la sainteté de son ministère et il devient làmilier alors juequ’à la trivialitê. (ïeclmrmaut laisser aller, dans un salon, lui a fait beau- coup de tort auprès de la tourbe ignorants qui alïecte souvent de ne voir que les travers pour se venger d'une supériorité impor- tnne. Et oem m'amène naturellementà vous parler des dissen- sions et des schismes qui ont éclaté à plusieurs reprises parmi les ditférentes congrégations qu'il dessert"., Mais comme ces détails formeront en réalité la partie la plus importante de cette étude en mettant en relief les mœurs et la vie intérieure des israélltes de New-York, j'e¤ reprendrei le lil dans une très-prochaine lettre. A. Cnaunr.
Lirrsnaruns. ms savants JUIF5 ET LA rnuosornm ons miss a LA racnrxtt nus Lnrrnss on Pants. Une thèse remarquable, récemment soutenue à la Faculté des lettres de Paris, a présenté assez d`intérét pour que nous nous fusions un devoir d'en entretenir nos lecteurs: parmi les juges, se trouvait l'honorable M. Franck, de l'Institut: le candidat était M. Emest Renan, hébraîsant instruit, chose assez rare parmi les professeurs et les nou-israélites : le sujet de la thèse qu`il pré- sentait pour le doctorat, c‘était Pappréciation du célèbre philo- ' sophe arabe Averroès (Ibn-Rosobd) au triple point de vue de sa biographie, de ses écrits, et de son influence sur les Arabes et les Juifs pendant tout le moyen âge. Dans cette thèse, il est souvent question, eten termes extrême- ment favorables, soit des travaux de plusieurs de nos ooreligion· I .
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